Description
Un homme enquête sur la femme qu’il a passionnément aimée, partie il y a plusieurs mois pour une destination inconnue, le laissant seul avec leur petit garçon. Quand le roman s’ouvre, on l’appelle pour lui dire qu’on l’a retrouvée morte, sur une plage, près des vagues, vraisemblablement noyée, dans un pays lointain au paysage minéral qui pourrait être l’Arabie. Elle était artiste, elle s’appelait Paz. Elle était solaire, inquiète, incroyablement douée. Elle étouffait en Europe. Pour son fils, à qui il doit la vérité sur sa mère, il remonte le fil de leur amour – leur rencontre, les débuts puis l’ascension de Paz dans le monde de l’art, la naissance de l’enfant – et essaie d’élucider les raisons qui ont précipité sa fin. Grand Prix du Roman de l’Académie Française 2013.
Ce qu’en pense la presse :
Un beau et profond roman d’amour. (La Libre Belgique)
L’avis du Francophile :
« Pour réveiller le héros, reporter désormais blotti dans le musée de la vieille Europe, il y a la passion de l’Art, dynamiteur des perceptions et puis il y a Paz, la femme dégoupillée, la grenade vivante qui ne tardera pas à exploser. César tombe éperdument amoureux de la photographe, une Asturienne qui avait l’oeil. Après le succès de Birmane, Ono-Dit-Biot brasse en profondeur un grand roman d’amour – plongée dans l’intimité du couple contemporain, ses contradictions, son inversion des pôles (il aspire à la paternité et à l’ancrage, elle se consume pour le danger). avant de se refermer sur une larme de djinn. »
