Le laboratoire central, Max Jacob, Au Sans Pareil, 1921, 176 p.

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Description

Poète moderniste précurseur de Dada puis du surréalisme, Max Jacob bouscule de son vers libre et burlesque la poésie française dès 1917. Vivant principalement de sa peinture (assimilée à l’École de Paris), il devient un épistolier influent, en particulier sur Jean Cocteau. Un an et demi après la mort prématurée de Modigliani, Jacob renonce aux psychotropes et s’exile à Saint-Benoît-sur-Loire. C’est au presbytère où il est accueilli par l’abbé Albert Fleureau qu’il achève ce long poème en vers qui exprime sa lente « revertébration ».

Broché. Couverture souple imprimée bleu-vert sous papier cristal. Année de la parution de l’édition originale. Papier quelque peu jauni avec une sporadique insolation partielle au pourtour. Infime manque au dos. Bon exemplaire.

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